Quand j’étais jeune chercheur, un collègue, Paris Kanellakis, voulait que nous travaillions sur l’informatique quantique. Alors j’ai lu des piles d’articles sur ce sujet… et n’y ai pas compris grand-chose. Je pensais naïvement qu’il suffisait de définir une machine de Turing quantique et qu’on pourrait ensuite ignorer la physique. Eh bien… ça ne marchait juste pas comme ça. Avec Paris, nous sommes passés à un autre sujet. Mais j’ai gardé un œil curieux sur la question.