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Avec les préoccupations environnementales croissantes, les formations du supérieur incluent de plus en plus des enseignements sur l’écoconception. Ces formations doivent dépasser les approches traditionnelles pour aborder les impacts environnementaux de manière transdisciplinaire. Les technologies immersives telles que la réalité virtuelle permettent aux étudiants d’« entrer » dans des environnements simulés. Ces outils se révèlent plus engageants et efficaces que les méthodes classiques, bien qu’ils posent des défis (coût, impact environnemental, perception « jeu »).
L’article teste le potentiel de la réalité virtuelle pour sensibiliser et enseigner des sujets complexes comme les impacts environnementaux. Trois groupes d’étudiants ont été exposés à des supports différents (vidéo explicative, jeu interactif sur ordinateur, et immersion en réalité virtuelle) pour apprendre l’eutrophisation, un phénomène complexe lié aux écosystèmes aquatiques générant des impacts environnementaux. L’apprentissage et le ressenti ont été évalués via questionnaires et entretiens. Le groupe ayant travaillé grâce à la réalité virtuelle présente des résultats et ressentis les plus positifs, notamment grâce à l’immersion. Bien que les trois groupes aient acquis des connaissances, la réalité virtuelle s’est avérée plus efficace pour comprendre la chaîne de cause à effet. L’immersion accroît l’implication et l’apprentissage, mais l’échantillon limité nécessite des études complémentaires et un déploiement de ces expérimentations à d’autres formations et impacts environnementaux.
L’article d’ouverture du thème est le fruit d’une collaboration à l’échelle nationale dans le cadre du GT CEPPS (Convertisseurs Électronique de Puissance Plus Soutenable) porté par le GdR SEEDS. Cette large collaboration était nécessaire pour faire « l’état de l’art de la recherche vers une électronique de puissance soutenable ». La soutenabilité en électronique de puissance est un sujet de recherche récent. Il s’inscrit dans les actions en cours visant à mieux appréhender les choix de conception favorisant notamment l’écoconception et l’économie circulaire dans le domaine.
Geoffrey Richard et Andrée Clar de l’entreprise Schneider Electric exposent dans leur article la politique de cette grande entreprise en matière d’économie circulaire. Ils y détaillent les solutions mises en œuvre et les nécessaires évolutions de l’organisation, de la gestion de la production et des outils industriels que cela implique.
Pour clore ce thème de l’écoconception et de l’économie circulaire, l’article de Olivier Kerbrat et de ses collaborateurs nous propose d’innover dans nos pratiques pédagogiques. En effet, avec les préoccupations environnementales croissantes, les formations du supérieur doivent dépasser les approches traditionnelles pour aborder les impacts environnementaux de manière transdisciplinaire. Dans leur article les auteurs testent le potentiel de la réalité virtuelle pour sensibiliser et enseigner des sujets complexes comme les impacts environnementaux. Il ressort en particulier de cette première expérience que la réalité virtuelle s’avère plus efficace pour comprendre la chaîne de cause à effet et que l’immersion accroît l’implication et l’apprentissage.