D’une démarche ancestrale d’éléphant à la vivacité d’un guépard ? une vraie nécessité est apparue, mais pourquoi et quelles sont les raisons de ce changement entre 2019 et 2022 ?
La France, et plus particulièrement la région des Hauts de France, devient une terre d’asile majeure pour la production de batteries équipant les véhicules électriques. Après une première usine géante de batteries ouverte en mai 2023 par ACC à Douvrin, près de Lens, la région de Dunkerque va accueillir trois méga-usines : Verkor, Prologium et XTC/Orano. L’usine AESC de Douai complète le tableau.
Parti de Kourou le 9 Octobre 2023, le satellite NESS doit qualifier la possibilité de détecter et de localiser précisément les brouilleurs GNSS au sol depuis l ’espace.
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> Un nouveau navire câblier pour Orange-Marine > Situation énergétique de l’Ukraine à fin octobre 2023 > Etape importante de la normalisation de la cryptographie quantique >
Le développement des systèmes électroniques embarqués et l’électrification croissante des véhicules, notamment dans l’industrie automobile et aéronautique, nécessite de maîtriser les contraintes de compatibilité électromagnétique sur une large bande de fréquences. Un matériau composite de faible densité est proposé et étudié en vue d’application aux boîtiers de blindage, une solution pour limiter les interférences électromagnétiques.
Suffit-il de traverser la rue pour trouver un emploi ? Dieu (ou plutôt Jupiter) seul le sait. Par contre, traverser la rue peut suffire à vous donner l’idée d’une chronique pour la REE. Cette chronique, j’aurais aussi pu l’intituler « l’intelligence, combien ça rapporte ? » ou encore « le business de l’intelligence » si j’avais vou- lu la jouer chaîne de télévision en mode racolage.
Les journées scientifiques (JS) d’URSI-France (branche française de l’URSI - Union Radio Scientifique Internationale - sous l’égide de l’Académie des Sciences, voir www.ursi-france.org) se tiennent annuellement, sur un thème qui change à chaque édition pour refléter la multidisciplinarité des radiosciences et aussi s’inscrire dans l’actualité des nombreux sous-domaines.
Au cours de la conception d’un système de transfert d’énergie sans contact (Wireless Power Transfer – WPT), le positionnement et le dimensionnement des ferrites est un enjeu important. Cet article vise à illustrer l’intérêt de la metamodélisation pour l’optimisation par essaim de particules avec gradient. Le but est d’économiser du temps de calcul pour le design optimal d’un système WPT pour la recharge inductive des véhicules électriques. En partant d’un modèle partiellement optimisé, la configuration des ferrites 3F 3 a été analysée en fonction du facteur de couplage et du coût de construction (proportionnel au volume de ferrite utilisé). L’optimisation multi-objectifs a été couplée à un algorithme adaptatif pour le calcul d’un métamodèle Polynôme Chaos Krigeage (Polynomial-Chaos-Kriging – PCK).
Depuis une quinzaine d’années, de plus en plus de fonctions sont électrifiées à bord des avions (commandes de vol, freinage, climatisation, ...) permettant de réduire la consommation de kérosène, de faciliter la maintenance et d’augmenter le confort en cabine. Ainsi, les puissances électriques installées au sein des aéronefs n’ont cessé d’augmenter passant de quelques dizaines de kVA dans les années 60 jusqu’au MVA dans les années 2010 ; cette tendance se poursuit toujours. La distribution de cette puissance s’effectue grâce à des câblages (harnais) dont il faut optimiser le placement et la masse. Une des conséquences importante de cette évolution est l’accroissement des contraintes de compatibilité électromagnétiques (CEM) due au nombre et à la diversité des harnais, à leur proximité et à l’accroissement des grandeurs électriques les parcourant. Cet article présente les problématiques CEM auxquelles sont confrontées les concepteurs de harnais face à ces évolutions majeures de la distribution électrique dans un avion.
