Quand j’étais jeune chercheur, un collègue, Paris Kanellakis, voulait que nous travaillions sur l’informatique quantique. Alors j’ai lu des piles d’articles sur ce sujet… et n’y ai pas compris grand-chose. Je pensais naïvement qu’il suffisait de définir une machine de Turing quantique et qu’on pourrait ensuite ignorer la physique. Eh bien… ça ne marchait juste pas comme ça. Avec Paris, nous sommes passés à un autre sujet. Mais j’ai gardé un œil curieux sur la question.

Lookup à la recherche de la sécurisation de l’espace
Photovoltaïque en Chine : plus de 1000 GW installés
En rachetant les supercalculateurs d’Atos, l’État sécurise une activité clé pour notre souveraineté numérique
Partenariat entre Latitude et Madari Space pour lancer la première constellation de centres de données en orbite basse

En moins de dix ans, Vivatech est devenu un rendez-vous annuel majeur de l’innovation technologique en Europe. Le salon, lancé par Les Échos et Publicis, donne la part belle aux startups, permettant de favoriser les relations d’affaires indispensables entre ces jeunes pousses et les entreprises.

Lors de la soirée de la Souveraineté numérique du 14 avril à Bercy, la ministre de l’IA et du Numérique, Clara Chappaz, a relancé un appel à projets pour l’émergence de solutions cloud européennes compétitives, dans le cadre du programme France 2030. Il s’agit de se libérer d’une dépendance forte envers les États-Unis, dans un contexte géopolitique instable et complexe, et de construire l’autonomie stratégique de l’Union européenne. À la même période ont été organisés à Paris l’AWS Summit le 9 avril et le Google Summit le 22 mai, deux événements majeurs sur l’utilisation du cloud qui illustrent clairement la dépendance actuelle de la France et de l’Europe envers les États-Unis. C’est ici l’occasion de faire un point sur les dernières innovations dans le domaine du cloud et son utilisation en France, en particulier par les industriels.

Emblématique d’une collaboration entre la France, l’Allemagne et l’Espagne, le programme SCAF connaît de nouveaux soubresauts. Les difficultés d’avancement du côté industriel français se superposent à des obstacles politico-industriels en provenance d’Allemagne, qui souhaite moderniser sa défense et sa souveraineté dans l’armement au prix d’un investissement massif.